Depuis ton départ les jours se traînent, ruisselants d’ennui. La grisaille des heures défile au tic tac lent de cette pendule qui retient le temps. Mon seul sourire est mon âme, qui je sais, va vers toi par delà les montagnes, obstacles ou s’étirent les distances cruelles. Je t’écris comme tes fantasmes me l’ont demandé. J’imagine tes mains remontant le long de mes jambes, ces jambes que tu trouves si belles et qui ne sont pas nues. Ta bouche parsèmera de baisers le voile qui les recouvre. Je vais t’avouer pour te faire regretter d’être parti, que tu n’as pas encore vu les trésors que je te destine quand tu reviendras. Mon corps s’enflamme de l’ imagination des désirs, il me semble sentir la chaleur de tes mains sur ces petites marques discrètes qui soulèvent un peu le tissu de ma jupe. Je sais que tu les aimes tant, que tes sens se plaisent à imaginer le secret encore caché. Surprise en est la couleur, j’aurais voulu en inventer une qui n’existe pas sur la palette des désirs du peintre un peu fou. Quand tu les découvriras, tu seras comme le poète qui a trouvé les rimes en mille carats.
J’ai toujours en moi cette douce sensation qui se répandit dans mon corps sur le quai de la gare des au-revoir. Tes doigts qui se glissaient entre le manteau et la robe cherchant l’endroit ou le bas se fait lisière, là ou se cache l’objet de tes désirs qui garde la frontière de ma peau nue. J’étais folle de tous mes sens, folle de ne pouvoir jeter au loin la robe et la manteau, folle de te sentir en moi. J’aurais voulu crier à la foule anonyme que les éclats de mon bonheur, briseraient les icebergs de leurs regards qui vont à la rencontre des bateaux qui filent dans la nuit. Le souvenir des visages de l’ombre s’est effacé des limbes de ma mémoire. Ton visage, seul, reste présent sur l’écran où je visionne ce qu’il m’appartient de toi. Je sais qu’il en est un autre où mes jambes défilent devant tes yeux avides. Les reflets de ton regard , en se posant sur la couture de mes bas illuminent la route qui conduit là-haut, vers la félicité des douces soieries.
Viens, je t’attends, je t’attends comme on attend la folie quand on l’imagine merveilleuse. Les lampes falotes du quai qui nous sépara, se transformeront en soleil qui annonce l’ aube triomphale des retrouvailles. Je serai là avec les secrets que je te destine, que ta main aventureuse essayera de deviner dès que nos corps se toucheront. Que le route sera longue jusque à l’instant ou je pourrai abandonner toute pudeur, quand ma jupe glissera à mes pieds. Toi, à genoux dans une prière païenne, tu désireras éteindre le feu qui brûle en toi. Mais comment l’apaiser? Je ne suis que la bûche résineuse qui l’alimente pour mieux le rendre chaud sur l’autel des passions infinies.
Oui mon Amour, cet enfer que l’on dit pétri de flammes, nous le transformerons en paradis. Peut-on mourir de plaisir au paradis?
Oui dévouée , c’est certain, bien que sortie de mon imagination. Mais disons qu’une femme qui m’écrirait une lettre comme cela, je ne pourrais qu’en tomber amoureux.
Je suis flatté de votre régal à me lire. J’ai toujours pensé que les mots étaient plus parlants que les photos. Pour sûr, ils laissent une place à l’imagination. Dans le texte, vous pouvez imaginer le quai de gare, son visage, les dessous de la dame à votre convenance. J’ai volontairement été vague sur certaines descriptions. Le reste c’est vous, c’est moi, comme cela nous chante.
Vous nous régalez, caro amico, d’images fortes et de mots doux à lire!
Nos dames boudent apparemment cette lettre en forme de déclaration d’amour. Il est vrai que sa lecture est plus propre à fouetter notre imaginaire que le leur…
Qu’à cela ne tienne, ce beau texte vous honore autant qu’il nous charme!
Il est vrai que l’imaginaire de cette lettre s »adresse avant tout à nous. Mais du moment qu’elles s’en inspirent et que cela puisse leur donner quelques idées, je serai payé de ma peine. En résumé je veux juste dire que sans elles, on ne connaîtrait pas de si doux moments et l’envie de les écrire.
insoutenable, cette lettre est insoutenable ! Quel homme pourrait y résister !!! J’adore, elle est sublime, je l’ai dévorée avec un réel plaisir, et pourtant je suis une femme 😉 les femmes parfois vous font de plaisirs qui rivalisent avec toutes les beautés du paradis ! 😉
Baisers Soyeux à vous et mille mercis, je me suis régalée… et risque revenir d’ici peu pour une seconde lecture ;)… à très bientôt !
Très heureux que cela vous plaise, d’autant plus que c’est une dame qui commente. Si mes mots vous touchent j’en suis doublement ravi. Vous savez que je suis un amateur de jolies phrases et c’est une manière de rendre hommage à ces femmes qui nous font rêver avec leurs atours. Bien que cette lettre soit purement imaginaire, elle approche quand même quelques souvenirs personnels.
Revenez la lire quand vous voulez, elle est là pour cela.
j aurai besoin de comprendre se fetischime debas nylon mon copain ma avouer avoir un fetische de nylon mes moi comprend pas es que quelqu un pourrai m expliquer s v p j ai beau regarder sur le net mes trouve aucune reponse a mes question merci
Le fétichisme est une attirance vers un objet, une situation, à caractère sexuel. Ils sont très variés. Cela peut être un objet, bas nylon, hauts-talons, lingerie; une partie du corps, fesses, seins, pieds; une matière, cuir, caoutchouc; une situation, s’habiller en femme pour un homme, voir un couple faire l’amour, l’ exibitionisme.
Le vue, le toucher, l’odorat font partie des moyens pour entrer en contact avec ce fétichisme.
C’est en fin de compte un phénomène très courant chez l’homme ou la femme. Chacun à des pulsions, des préférences qui l’attirent vers une chose ou l’autre.
Dans certains cas, le partenaire n’a pas besoin d’avouer son fétichisme, car il se résout tout seul, par exemple caresser les seins d’une femme en accouplement, ne demande rien de particulier. La femme peut croire que son partenaire est attentif envers ses désirs, mais en réalité il pense d’abord à lui.
Dans d’autres cas, il a besoin de la participation du partenaire, s’habiller d’une certaine manière ou exécuter un scénario.
A mon avis, le fétichisme est normal quand il apporte un plus, mais n’est pas une nécessité absolue. Dans les autres cas, c’est plus sérieux, car on a absolument besoin de ce fétichisme pour arriver à jouir, le seul fait de l’accouplement n’est pas suffisant pour arriver à la jouissance.
Dans le cas de votre copain, il avoue avoir une attirance pour le nylon, des millions d’hommes sont comme lui. Il a le courage de l’avouer. C’est un signe de personnalité et s’il vous en parle, c’est qu’il espère bien un retour de votre part.
A vous de savoir si vous pouvez le satisfaire sur ce point là. A mon avis, vous avez tout à y gagner, il n’en sera qu’un meilleur partenaire, mais vous pouvez lui demander aussi quelque chose en contrepartie.
Je vous encourage donc à la faire et vous verrez sans doute un changement dans vos relations.
Bien à vous
Votre réponse sur l’origine de NOS fétichismes m’a beaucoup intéressé. Perso, je suis un quadragénaire confirmé et depuis mon adolescence, je suis un fétichiste… des jupes plissées. Oui, ça vous fait certainement sourire mais cela est du à l’éducation que j’ai reçu jadis. A l’époque, ma Maman , alors dans sa pleine maturité, s’habillait très classique, comme sur les catalogues de VPC bien connus. Elle avait une bonne dizaine de jupes plissées, écossaises ou bien unies, assorties de chemisiers et de cardigans.
J’étais très admiratif de cette élégance maternelle. Mais mon fétichisme perso prit naissance par une tangente inattendue.
Etant nul en maths, ma mère qui tenait beaucoup à ma réussite scolaire m’administrait une bonne fessée sur ses genoux à chaque mauvais résultat. Souvent, elle portait cette tenue à cette occasion.
Par la suite, avec l’âge, j’ai associé fessée, féminité et jupe plissée dans mon fétichisme. Pour moi, les jupes plissées étaient synonymes de punitions et de sévérité féminine. Et surtout je n’aurais jamais osé caresser les jupes de ma mère, à l’instar de jeunes « renifleurs » de lingerie intime par crainte… d’une cuisante fessée déculottée.
Voilà je souhaitais apporter ma pierre à l’édifice. Sur ces mots, bonne journée. Peter Pan
J’ai lu avec plaisir votre commentaire et vous en remercie.
Vous ne m’étonnez point à vous lire. je suis persuadé qu’à un moment il se produit ce déclic qui nous oriente vers une chose ou autre en matière de sexualité. Pour mon cas personnel, je ne sais pas ce qui m’a amené vers le mien, je n’ai pas de souvenir très précis, mais il doivent exister. Par contre je me souviens plus précisément des moments où j’ai constaté que les bas nylons avaient une importance à mes yeux, cela doit remonter vers l’âge de six ou sept ans. Je dirais que je suis à sens unique, le plaisir du bas n’est associé à aucune autre forme de fétichisme ou plaisir, ce qui peut aussi dire que je l’admets dans toutes ses formes. Que ma compagne soit douce ou sévère, qu’elle s’habille en cuir ou autrement, il m’importe surtout qu’elle porte des bas, je m’accommode du reste.
Encore merci de votre témoignage et vous souhaite de trouver le plein de plaisir là où vous le cherchez.
Bien à vous et passez nous dire bonjour de temps en temps.
quelle maitresse devouée….
Oui dévouée , c’est certain, bien que sortie de mon imagination. Mais disons qu’une femme qui m’écrirait une lettre comme cela, je ne pourrais qu’en tomber amoureux.
Merci à vous
Amitiés
ton imagination est débordante et c’est tant mieux pour nous mon ami…
Merci, Oui vraiment c’est un régal a lire, fabuleux de recevoir une lettre comme celle-ci……….je fond de plaisir.
Merci à vous Scalpa,
Je suis flatté de votre régal à me lire. J’ai toujours pensé que les mots étaient plus parlants que les photos. Pour sûr, ils laissent une place à l’imagination. Dans le texte, vous pouvez imaginer le quai de gare, son visage, les dessous de la dame à votre convenance. J’ai volontairement été vague sur certaines descriptions. Le reste c’est vous, c’est moi, comme cela nous chante.
Amitiés
Vous nous régalez, caro amico, d’images fortes et de mots doux à lire!
Nos dames boudent apparemment cette lettre en forme de déclaration d’amour. Il est vrai que sa lecture est plus propre à fouetter notre imaginaire que le leur…
Qu’à cela ne tienne, ce beau texte vous honore autant qu’il nous charme!
Merci mon cher Léo,
Il est vrai que l’imaginaire de cette lettre s »adresse avant tout à nous. Mais du moment qu’elles s’en inspirent et que cela puisse leur donner quelques idées, je serai payé de ma peine. En résumé je veux juste dire que sans elles, on ne connaîtrait pas de si doux moments et l’envie de les écrire.
Amitiés
Mieux vaut mourir de plaisir au paradis que d’ennui en enfer… Bien à vous.
Merci mon cher Valmont,
On dit l’enfer pavé de bonnes intentions, si seulement il était pavé de nylon, on ne ferait pour aller à l’étage supérieur…
insoutenable, cette lettre est insoutenable ! Quel homme pourrait y résister !!! J’adore, elle est sublime, je l’ai dévorée avec un réel plaisir, et pourtant je suis une femme 😉 les femmes parfois vous font de plaisirs qui rivalisent avec toutes les beautés du paradis ! 😉
Baisers Soyeux à vous et mille mercis, je me suis régalée… et risque revenir d’ici peu pour une seconde lecture ;)… à très bientôt !
Merci chère Miss Legs,
Très heureux que cela vous plaise, d’autant plus que c’est une dame qui commente. Si mes mots vous touchent j’en suis doublement ravi. Vous savez que je suis un amateur de jolies phrases et c’est une manière de rendre hommage à ces femmes qui nous font rêver avec leurs atours. Bien que cette lettre soit purement imaginaire, elle approche quand même quelques souvenirs personnels.
Revenez la lire quand vous voulez, elle est là pour cela.
Bises soyeuses à vous en encore merci
j aurai besoin de comprendre se fetischime debas nylon mon copain ma avouer avoir un fetische de nylon mes moi comprend pas es que quelqu un pourrai m expliquer s v p j ai beau regarder sur le net mes trouve aucune reponse a mes question merci
Bonjour Sylvie et bienvenue,
Je vais essayer de vous répondre.
Le fétichisme est une attirance vers un objet, une situation, à caractère sexuel. Ils sont très variés. Cela peut être un objet, bas nylon, hauts-talons, lingerie; une partie du corps, fesses, seins, pieds; une matière, cuir, caoutchouc; une situation, s’habiller en femme pour un homme, voir un couple faire l’amour, l’ exibitionisme.
Le vue, le toucher, l’odorat font partie des moyens pour entrer en contact avec ce fétichisme.
C’est en fin de compte un phénomène très courant chez l’homme ou la femme. Chacun à des pulsions, des préférences qui l’attirent vers une chose ou l’autre.
Dans certains cas, le partenaire n’a pas besoin d’avouer son fétichisme, car il se résout tout seul, par exemple caresser les seins d’une femme en accouplement, ne demande rien de particulier. La femme peut croire que son partenaire est attentif envers ses désirs, mais en réalité il pense d’abord à lui.
Dans d’autres cas, il a besoin de la participation du partenaire, s’habiller d’une certaine manière ou exécuter un scénario.
A mon avis, le fétichisme est normal quand il apporte un plus, mais n’est pas une nécessité absolue. Dans les autres cas, c’est plus sérieux, car on a absolument besoin de ce fétichisme pour arriver à jouir, le seul fait de l’accouplement n’est pas suffisant pour arriver à la jouissance.
Dans le cas de votre copain, il avoue avoir une attirance pour le nylon, des millions d’hommes sont comme lui. Il a le courage de l’avouer. C’est un signe de personnalité et s’il vous en parle, c’est qu’il espère bien un retour de votre part.
A vous de savoir si vous pouvez le satisfaire sur ce point là. A mon avis, vous avez tout à y gagner, il n’en sera qu’un meilleur partenaire, mais vous pouvez lui demander aussi quelque chose en contrepartie.
Je vous encourage donc à la faire et vous verrez sans doute un changement dans vos relations.
Bien à vous
Bonjour à Vous !
Votre réponse sur l’origine de NOS fétichismes m’a beaucoup intéressé. Perso, je suis un quadragénaire confirmé et depuis mon adolescence, je suis un fétichiste… des jupes plissées. Oui, ça vous fait certainement sourire mais cela est du à l’éducation que j’ai reçu jadis. A l’époque, ma Maman , alors dans sa pleine maturité, s’habillait très classique, comme sur les catalogues de VPC bien connus. Elle avait une bonne dizaine de jupes plissées, écossaises ou bien unies, assorties de chemisiers et de cardigans.
J’étais très admiratif de cette élégance maternelle. Mais mon fétichisme perso prit naissance par une tangente inattendue.
Etant nul en maths, ma mère qui tenait beaucoup à ma réussite scolaire m’administrait une bonne fessée sur ses genoux à chaque mauvais résultat. Souvent, elle portait cette tenue à cette occasion.
Par la suite, avec l’âge, j’ai associé fessée, féminité et jupe plissée dans mon fétichisme. Pour moi, les jupes plissées étaient synonymes de punitions et de sévérité féminine. Et surtout je n’aurais jamais osé caresser les jupes de ma mère, à l’instar de jeunes « renifleurs » de lingerie intime par crainte… d’une cuisante fessée déculottée.
Voilà je souhaitais apporter ma pierre à l’édifice. Sur ces mots, bonne journée. Peter Pan
Bonsoir cher Ami et bienvenue,
J’ai lu avec plaisir votre commentaire et vous en remercie.
Vous ne m’étonnez point à vous lire. je suis persuadé qu’à un moment il se produit ce déclic qui nous oriente vers une chose ou autre en matière de sexualité. Pour mon cas personnel, je ne sais pas ce qui m’a amené vers le mien, je n’ai pas de souvenir très précis, mais il doivent exister. Par contre je me souviens plus précisément des moments où j’ai constaté que les bas nylons avaient une importance à mes yeux, cela doit remonter vers l’âge de six ou sept ans. Je dirais que je suis à sens unique, le plaisir du bas n’est associé à aucune autre forme de fétichisme ou plaisir, ce qui peut aussi dire que je l’admets dans toutes ses formes. Que ma compagne soit douce ou sévère, qu’elle s’habille en cuir ou autrement, il m’importe surtout qu’elle porte des bas, je m’accommode du reste.
Encore merci de votre témoignage et vous souhaite de trouver le plein de plaisir là où vous le cherchez.
Bien à vous et passez nous dire bonjour de temps en temps.