Vendredi en nylon (11)

Les nouveau mots de la langue française

Je trouve que notre belle langue manque de mots, alors en voici de nouveau avec leurs définitions

Nénénuphar : sein en forme de plante aquatique

Pèresonne : père de famille absent

Porctable : téléphone mal entretenu

Embouteillâge : personne âgée peinant à circuler

Ouraregan : violente tempête se produisant très rarement

Je vais rétrécir un peu le champ de mes écoutes, en ciblant ce que j’écoute depuis au moins 45 ans ce qui nous amène jusqu’en 1972. La tournant des années 60-70 est une extraordinaire période musicale, la musique devient autant un divertissement qu’une exploration des sons tous azimuts. Je dirais que tous les coups sont permis!

En cherchant mes titres favoris dans la discographie des Doors, je pourrais en faire une liste en écartant les bras comme le font le pêcheurs quand il parlent de l’extraordinaire prise qu’ils ont faite, longue comme ça! Néanmoins un des mes favoris pour les jours étranges…

A l’automne 1969, je fus subjugué  par un groupe anglais Steamhammer et un album « Reflection » rempli de pépites. Assurément un album record dans mes écoutes. Un joli son assez aquatique et pratiquement que des titres originaux. En voici un titre , repris plus tard par Status Quo dans un version assez morne.

Après leur première époque avec Denny Laine, les Moody Blues créent des albums très jouissifs et musicalement parfaits. Sortir un titre ou l’autre de ces albums est une gageure, j’écoute en fait tous leurs albums. Je suis persuadé que l’on parlera encore de leur musique dans 100 comme on parle de Beethoven maintenant. Un exemple de leur maestria, ah si les rappeurs pouvaient nous faire de trucs comme ça, mais bon il faut avoir un certain niveau musical…

En musique je ne suis pas un lâcheur, quand un artiste a fait quelque chose qui me plaît, je le suis fidèlement. Il se peut que la suite ne m’intéresse pas, mais j’ai au moins essayé. Si j’avais juste abandonné Procol Harum après leur hit planétaire juste parce que ça ne passait plus à la radio, j’aurais certainement loupé un monument qui fait ressembler la pyramide de Kéops à une boîte d’allumettes. Alors écoutons un titre, moins facile d’accès que leur hit, mais tout aussi beau. On reparlera de ce groupe dans ces colonnes, c’est sûr!

Bien que la version de Santana soie plus connue, il faut rappeler que l’original est de Fleetwood Mac période Peter Green qui l’a composée. Je ne déclarerai pas la guerre pour savoir laquelle est la meilleure. Je dirai juste que je préfère l’original, plus brute, plus blues, celle de Santana est juste latinisée. Je reste toujours persuadé que Peter Green est un sacré guitariste et qu’il n’a rien à envier à Santana, sinon d’être moins aimé.

Au paradis j’imagine que les anges doivent chanter ainsi, le grand Tim Bucley que j’avais découvert par hasard sur une compilation allemande dédiée au fameux label Elektra. Une chanson que je classe sans hésiter dans les immortelles.

Un groupe que j’ai toujours bien aimé, mais de tous leurs disques c’est celui qui me charme encore.

Ces belles petites trouvailles que l’on fait quand on veut bien prendre la peine de les écouter chez le disquaire.

Taste qui nous fit découvrir un guitariste de première, Rory Gallagher. J’aime bien ces morceaux de musique pop qui frisent avec le jazz, succulent!

Love et toute la magie d’Arthur Lee