En passant

Bas nylons et coquineries américaines

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Eh bien pour changer une petite vidéo, ces vidéos qui traînent sur la Toile, dont personne ne semble se souvenir qu’elles existent. J’ai adapté la présentation et mis une musique de fond. Ensuite, nous irons feuilleter quelques pages d’un magazine américain datant de 1951, Flirt. C’était ce genre de revues qui faisaient baver nos ancêtres dont ils faisaient discrètement l’achat. A l’époque, les USA étaient plutôt un pays axé sur la pudibonderie, c’est l’ère du fameux McCarty et de la chasse aux sorcières communistes. Vu que ce genre de magazine n’était pas imprimé à Moscou, il n’y avait pas de raison de le censurer, surtout si cela pouvait rapporter du fric. Quelques entorses aux ligues bien pensantes, une prière à l’église le dimanche et le tour est joué. Ce n’est pas les premiers lecteurs de Playboy, alors en projet, qui s’en offusqueront. Je n’ai gardé que les pages les plus significatives.

4 réflexions sur “Bas nylons et coquineries américaines

  1. Bonjour M. Boss,
    Voilà de quoi passer un bon 1er mai, j’adore feuilleter ce genre de revue, il y a une atmosphère que l’on ne retrouve plus maintenant
    Bonne journée et 1er mai
    cooldan

    • Hello Cooldan,
      Oui, c’est le reflet d’un époque et je crois que la rareté de ce genre de choses il y a 60 ou 70 ans en faisait tout le charme, j’imagine toutes les excuses qu’ils devaient trouver pour aller acheter ce genre de revues, qui souvent n’étaient pas en vitrine, mais sous le comptoir.
      Bon week-end

  2. Bonsoir Messieurs,

    Merci pour ces morceaux de coquineries d’une autre époque…
    Les revues un peu olé-olé comme l’on dit, ont toujours participé à relever le moral des troupes et « éduquer la jeunesse ».
    Les Américains ont toujours été aussi pudibonds et un peu faux-cul, si je puis dire.
    Les filles dénudées ou en lingerie ont toujours décoré les chambrées des jeunes conscrits. Avec eux, on déshabille St-Pierre pour habiller St-Paul comme dit le proverbe. Rires. Bon WE du 1er Mai. Peter.

    • Hello Peter,
      Le plus difficile pour nos soldats maintenant, c’est de trouver une borne pour recharger leur téléphone. Et puis les bordels de campagne ambulants de jadis, écoutez « au suivant » de Jacques Brel.
      Bon week-end

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