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Une autre grille de mots croisés proposée par Peter Pan. Merci à lui. Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Solutions tout en bas de la page, ainsi que des extraits de films concernant notre vedette mystérieuse.
En 1912, dans La Semaine Illustrée, une histoire de mère vertueuse, il faut bien veiller au grain.
Présenter une sélection des films de Jean Gavin, c’est une peu chercher un tas d’or par une nuit sans Lune avec pour seul éclairage une unique allumette qu’il faudra utiliser au bon moment. Ma première rencontre avec Gabin remonte à l’âge de 8 ou 9 ans quand j’au vu Les Misérables. Je n’ai pas vraiment un acteur ou une actrice préféré, il y en a que j’admire, que j’aime, qui passent sur l’écran sans s’arrêter dans ma mémoire. En fait, je n’en déteste aucun, mais certains font que je n’attends rien d’eux, je sais déjà ce qu’ils seront dans le film. Ce que j’aime avec Gabin, c’est que quand il interprète un rôle, il est son personnage et pas Jean Gabin, on oublie son nom. En regardant d’un peu plus près, rares sont les acteurs qui arrivent à passer du jeune séducteur au vieillard irascible sans faire pâlir son aura. Rares sont les acteurs qui peuvent prétendre avoir tourné dans autant de chefs d’oeuvre en une suite presque ininterrompue, je parle là de ses années 30, mais il rebondira après la guerre. Certes, les grand films se feront plus espacés, mais cela ne changera rien à son jeu, il est toujours X ou Y pour le meilleur, jamais pour le pire.
La Grande illusion (1937) de Jean Renoir.
La Bête humaine (1938) de Jean Renoir.
Le Jour se lève (1939) de Marcel Carné.
Les Misérables (1958) de Jean-Paul Le Chanois.
Le Tatoué (1968) de Denys de La Patelière.
Répliques divers films.
Interview.
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