En passant

Bas nylons et tribunal du rire

Justice pour rire

La justice ne s’occupe pas que des grandes affaires criminelles lors des procès retentissants. Il y a aussi les petites affaires, celles qui se résolvent en quelques minutes devant un tribunal. Souvent elles sont le fait des petits justiciables, les opportunistes qui sautent sur une occasion ou les habitués des petits délits. La tragédie est souvent absente des débats, et pour autant qu’un des accusés ou des témoins ait la langue bien pendue, on se marrerait plutôt. Les histoires de cocufiage sont souvent présentes en des temps où l’adultère constituait un délit, certes pas passible d’un séjour au bagne. Voici quelques affaires qui furent jugées en mars 1939, dont certaines prêtent à sourire, si ce n’est pas par les faits eux-mêmes, le journaliste s’en chargera dans son compte rendu.

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