Quelques trouvailles musicales sur la Toile. Tout et rien, je ne suis pas raciste, ni sectaire. La seule chose qui m’em… c’est que je pourrai jamais tout écouter. S’il n’y pas de musique au paradis, à quoi ça sert d’y aller?
On ne peut pas dire que les Japonais font les choses à moitié. Un big band d’étudiantes se lancent dans la reprise d’un morceau de Charles Mingus. Suivez bien celle qui est à la batterie, excellente!
Un orchestre swing presque entièrement féminin et un morceau connu.
Un ensemble assez connu qui replonge dans les années 30-40.
Un très bon guitariste français aux multiples facettes, Jean-Christophe Renvoyer, excellent partout, ici en jazz, une reprise de Kenny Burrell.
Changeons de style, un beau duo et une chanson à boire un rien morale.
Il y a 50 ans, une des choses les plus impensables aurait été de voir un duo entre un chanteur de soul et un d’opéra. Grâce à Luciano Pavarotti, un monstre d’opéra et James Brown un de la soul music, le chose est de venue possible. Je connais ce clip depuis longtemps, il m’enchante toujours.
Vous savez que je suis la moitié d’un Italien, une chose que je revendique volontiers. Alors il est évident que ce qui est musique du coin, ne me laisse pas indifférent, surtout quand elle puise dans les racines folkloriques. Une trouvaille récente que j’apprécie beaucoup. Il ne manque plus qu’un verre de chianti et un plat de salumi avec du salami.
L’un de mes chanteurs de la Botte préférés, Angelo Branduardi. Je connais cette chanson depuis belle lurette, mais j’ai découvert cette superbe version live, il fallait absolument que je cueille cette pomme.
Un film que j’adore, c’est Les Misérables dans sa version de 1957 avec Jean Gabin. Mais la musique du générique est aussi puissante que le film, c’est de la musique classique, mais que c’est beau!
Un très intéressant guitariste à la rue pour le meilleur. Spécialiste en slide guitar, il reprend « On The Road Again » popularise par Canned Heat.
Denez Prigent, qui porte haut le drapeau de la musique bretonne, en live. P’tain que ça fait frissonner, même si on pipe pas un mot.
Bonjour M. le Boss,
Moi aussi je suis une moitié d’italien par ma mère et je ne suis jamais resté insensible à la culture et la musique de ce pays, (j’adore Angelo Branduardi) et quand je me rends dans la botte pour des vacances, je ne me sens pas étranger d’autant plus que j’ai encore des cousins qui vivent dans la région des lacs, même si on se voit pas souvent.
Bonne fin de semaine
cooldan
PS : Denez Prigent, cette musique prend aux tripes même si on est pas Breton
Hello Peter,
Bienvenue cher collègue, ma mère est de Milan. C’est d’ailleurs avec elle quand elle fréquentait ses amies que j’ai assez bien appris la langue. Je n’ai malheureusement plus de parenté en Italie, et plus beaucoup de contacts, mais j’aime toujours et je m’y sens un peu chez moi, surtout à table, l’huile d’olive ne me fait pas peur et les petits pinards du coin pas plus. J’ai surtout fréquenté des enseignants que ma mère connaissait et qu’elle allait revoir pendant les années 80 et 90. J’ai même eu des discussions passionnées avec un monsieur à la retraite qui fut une sorte de ministre de l’éducation de la province de Trente et qui parlait un français impeccable. Il m’a raconté tous ses souvenirs de guerre, car il fut officier durant la guerre 39-45. Il a été fait prisonnier par les Anglais et Egypte et fut déporté en Inde. Il m’avait dit que son meilleurs souvenir de la guerre fut quand il reçut un colis de la Croix-Rouge avec un boîte de café soluble à l’intérieur. Les Italiens et le café… comme moi!
Bonne fin de semaine
Bonsoir Mr Boss,
Ah le lyrisme à l’Italienne…
C’est vrai : qu’est devenu Mr Branduardi. : « Va où le vent te mène, va où le vent t’emmène, va où le vent te mène, va… ». Je me souviens de cette bribe de couplet d’un de ses titre au début des années 1980. Excellent violoniste.
La musique bretonne reste la valeur forte de la culture d’Armorique.
Le Festival Inter-celtique de Lorient bat son plein chaque début du mois d’Août et rassemble toutes les déclinaisons musicales de cette culture . Grand moment.
Bien qu’ayant vécu jusqu’à mes 18 ans en Loire-Atlantique, je ne connais que quelques mots dans cette langue qui est le vestige du parler gaulois d’il y a deux millénaires. ( rappelons nous Manau : « la tribu de Dana » en 1995, une sorte de « rap » celtique. Bien que je n’aime pas ce rythme musical , mais bon ,chacun ses goûts…). Breizh Atao (Breton toujours). Kenavo,
Bonne fin de soirée. Peter’.
Hello Peter,
Branduardi est toujours en action, il tourne encore, il n’y pas encore 70 ans.
Oui le festival de Lorient, j’aimerais bien y aller une fois. Je m’intéresse au folk breton depuis presque 50 ans, je connais assez bien. Quand j’ai séjourné là-bas, je presque donné des leçons à certains Bretons, je connaissais plus d’artistes bretons qu’eux. Comme on dit nul n’est prophète dans son pays. Par contre, la langue je n’en connais pas grand chose, juste quelques mots, c’est assez beau comme langue, mais pas facile pour un Latin d’en saisir le charme. Les paysages dans la campagne, les lumières et les bords de mer sont extraordinaires dans certains endroits.
Kenavo et bonne fin de semaine.