En passant

Dimanche en quelques manches d’automne (2)

Ayanf dû une petite untervention chirurgicale sans gravité mais handicapante, il se peut que le blog subisse une interruption. Il m’est en effet assez difficile de me tenir derrière un clavier. A bientôt.

Deux musiques pour s’éveiller plutôt cool

The Mojo Men – Don’t Leave Me Crying Like Before

The Boss Five – You Cheat Too Much

CHANSONS
MONUMENTS

Chansons qui ont un brin d’éternité

White Rabbit

Une chanson très icône des sixties. La première pensée est de l’associer à Jefferson Airplaine, mais c’est en fait le seconde version. Composée par la chanteuse Grace Slik, elle connut ses premières interprétations alors qu’elle faisait partie de Great Society. Le groupe était surtout un acte live. Des enregistrements furent faits, mais c’est surtout suite à l’apparition et au succès de Jefferson Airplane qu’ils furent publiés, Slick ayant emmené la chanson avec elle.
Les paroles font largement appel à l’ambiance que l’on trouve dans Alice au pays des merveilles et le titre est inspiré du lapin blanc toujours pressé qui figure dans l’histoire. La chanson est bien entendu une allusion aux substances hallucinogènes, on peut également se demander ce que fumait Lewis Carroll quand il a écrit son histoire, tant lles situations sont surréalistes. Grace Slick reconnaît qu’elle s’est inspirée du « Boléro » de Ravel pour la mélodie.

Première version, Grace Slick & Great Society, 1966

La version définitive, Jefferson Airplane, 1967

Rétroviseur

Il y a 62 ans au cours de l’année 1961, ces chansons squattaient le hit parade américain ou anglais, et pour certaines envahir la France.

The Marcels – Blue Moon

The Highwaymen – Michael

Del Shannon – Runaway

Elvis Presley – Surrender

Dion – Runaround Sue

On les entend jamais

Pour la quasi totalité des artistes, les discographies sont parsemées de titres que l’on n’entend jamais, seules les écoutes privées peuvent quelque peu renverser la tendance. Il y a pourtant des choses plaisantes, intéressantes, voire même géniales. Partons à la découverte des ces spécialités dans un joyeux mélange de style…

Des artistes plus ou moins connus et des titres de leur répertoire plus ou moins oubliés, toutes époques

Alexis Korner & Blues Incorporated – Hoochie Coochie Man

The Artwoods – Sweet Mary

The Paramounts (futur Procol Harum) – Brand New Cadillac

The Mojos – I Got My Mojo Working (une superbe reprise!)

The Action – Shadows And Reflections

Strictement Folk

C’est de là que viennent toutes les musiques et c’est l’âme des peuples de la Terre. Quand on aime la musique d’une ethnie on n’a pas envie de lui déclarer la guerre, sauf peut-être les fous…

Malicorne – Le Bouvier (France)

Digabestr – Hanter-dro (Bretagne)

Trio Mandili – (Groupe georgien, chant hongrois)

Roberto Corona – Air traditionnel russe tzigane

Ensemble Odo – Nami Nami (berceuse égytienne)

Séquence humour

Pierre Perret – Quelle Epoque On Vit

Partis rejoindre les étoiles

Richard Antoni (1947 – 2023)

Il fut le chanteur et claviers du groupe Nazz à la fin des sixties, dans lequel on trouve aussi le célèbre Todd Rundgren alors peu connu. Le nom du groupe est emprunté à la chanson des Yardbirds *The Nazz Are Blue ». Le groupe acquit surtout une légende tardive, leur titre fétiche figurant dans la publication originale de la célèbre compilation « Nuggets ».

Open My Eyes

Under The ice

Rudolph Isley ( 1939 – 2023)

Membre fondateur des Isley Brothers, célèbres pour quelques classiques abondamment repris

Shout

Twist And Shout

En passant

Dimanche en quelques manches d’automne (1)

Ayanf dû subir une petite intervention chirurgicale sans gravité mais handicapante, il se peut que le blog subisse une interruption partielle. Il m’est en effet assez difficile de me tenir derrière un clavier. A bientôt.

Deux musiques pour s’éveiller cool

The Searchers – Till I Meet You

The Mindbenders – You Don’t Know About Love

CHANSONS
MONUMENTS

Chansons qui ont un brin d’éternité

O Mein papa

Nous avons vu précédemment une chanson dédiée à la mère (La Mamma – Charles Aznavour), mais il en existe aussi une célèbre sur les père, bien que moins connue que la précédente. D’un autre côté, les chansons qui ont la Suisse pour pays d’origine et qui deviennent connues internationalement sont assez rares, en voici une exception.
Elle fut composée Paul Burkhard, un musicien de la partie germanophone de la Suisse, ce qui fait que les paroles originales sont en allemand. Elle apparaît pour la première fois en 1939, lors d’un show musical dont aucun enregistrement sonore ne semble avoir survécu. Elle sera popularisée par la Suissesse Lys Assia en 1948. La chanson sera un peu plus tard incluse dans une comédie musicale filmée « Fuerwerk » avec la très connue actrice Lilli Palmer. Dans les années 1950, la chanson est adaptée en plusieurs langues dont l’anglais, couronnée par des apparitions dans certains hit parades. Au fil du temps de très nombreuses interprétations figureront au répertoire de très grandes vedettes comme Connie Francis ou les Everly Brothers. La partie joyeuse de l’interprétation originale, c’est normal le père est un clown, sera un peu délaissé au profit de la partie plus nostalgique, c’est visible dans les versions en anglais. Lys Assia qui mena une longue carrière en plusieurs langues fut la chanteuse qui remporta l’Eurovision lors de sa première édition. A presque 90 ans, elle enregistra encore un disque avec un groupe électro noir NewJack. Elle est décédée en 2018 à 93 ans. Même la BBC annonça la nouvelle.

Lys Assia, première version enregistrée, 1948.

Version des Everly Brothers, 1962

Rétroviseur

Il y a 63 ans au cours de l’année 1960, ces chansons squattaient le hit parade américain ou anglais, et pour certaines envahir la France.

Johnny Tillotson – Poetry In Motion

The Shirelles – Will You Still Love Me Tomorrow

Elvis Presley — It’s Now Or Never

Brenda Lee – I’m Sorry

The Ventures – Walk Don’t Run

On les entend jamais

Pour la quasi totalité des artistes, les discographies sont parsemées de titres que l’on n’entend jamais, seules les écoutes privées peuvent quelque peu renverser la tendance. Il y a pourtant des choses plaisantes, intéressantes, voire même géniales. Partons à la découverte des ces spécialités dans un joyeux mélange de style…

Des artistes plus ou moins connus et des titres de leur répertoire plus ou moins oubliés, toutes époques

Brandy Butler & The Fonxionaires – Till You Love Me

Bruce Joyner – Rainy Grey Day

Blue-Touch – When The Levee Breaks

Randy Holden – Guitar Song

Flamin’ Groovies – I Saw Her

Strictement Chanson Française

Il m’arrive aussi d’en écouter, pas forcément les chansons que l’on entend toujours…

Anne Vanderlove – Du Côté de St Jean Du Gard

Barbara – Ce Matin-Là

Juliette – Il N’est Pas De Plaisir Superflu

Marie France – Le Cercle Rouge

Valérie Lagrange – Encore Un Jour De Notre Amour

Séquence humour

Champi – 1936

Partis rejoindre les étoiles

Katherine Anderson (1944 – 2023)

Une des Marvelettes

Please Mr Postman

Ron Howden (1945 – 2023)

Membre fondateur et batteur du groupe allemand Nektar

Lonely Roads

En passant

Dimanche en quelques manches (de fin d’été) (13)

Ayanf dû une petite untervention chirurgicale sans gravité mais handicapante, il se peut que le blog subisse une interruption. Il m’est en effet assez difficile de me tenir derrière un clavier. A bientôt

Deux musiques pour s’éveiller cool après la nuit

The Esquires – Heartaches Stay The Night

The Human Expression – Every Night

CHANSONS
MONUMENTS

Chansons qui ont un brin d’éternité

La Mamma

S’il y a bien une chanson qui peut résumer l’Italie, c’est bien celle-là. Le sens de la famille très développé dans ce pays est très bien illustré par les paroles de cette chanson. Il est vrai que la mère de famille occupe une place toute particulière dans la hiérarchie, elle est souvent un peu sacrée.
Les paroles sont du père de France Gall, Robert Gall. Elle lui a été inspirée par la mort de sa mère. Il cherche un compositeur et la propose à Charles Aztnavour, qui écrit la mélodie mais ne veut pas l’interpréter, il estime qu’elle ne correspond pas à son répertoire. Les Compagnons de la Chanson l’enregistrent, mais Eddie Barclay le pousse à enregistrer sa propre version. Il s’exécute et connait immédiatement le succès déclassant la version des Compagnons. Il sait insuffler un côté tragique à son interprétation, ce qui manque dans l’autre version, l’équipe étant plus à la recherche de la perfection vocale au détriment du reste. Elle fut assez rapidement adaptée dans d’autres langues. Dans les reprises en anglais, il faut souligner l’extraordinaire reprise de Ray Charles en 1975, extraordinaire d’intensité. L’esprit des paroles est respecté. Il est vrai que c’est un génie, surnom dont on l’affubla avec raison.

Charles Aznavour, 1963

For Mama, Ray Charles, 1975

Rétroviseur

Il y a 64 ans au cours de l’année 1958, ces chansons squattaient le hit parade américain ou anglais, et pour certaines envahir la France.

Bobby Darin – Dream Lover

The Fletwoods – Come Softly To Me

Elvis Presley — A Fool Such As I

Lloyd Price – Personality

Johnny & The Hurricanes – Red River Rock

On les entend jamais

Pour la quasi totalité des artistes, les discographies sont parsemées de titres que l’on n’entend jamais, seules les écoutes privées peuvent quelque peu renverser la tendance. Il y a pourtant des choses plaisantes, intéressantes, voire même géniales. Partons à la découverte des ces spécialités dans un joyeux mélange de style…

Des artistes plus ou moins connus et des titres de leur répertoire plus ou moins oubliés, toutes époques

The Left Banke – Desiree

The Trashmen – Henrietta

The Young Rascals – How Can I Be Sure

Les Sunlights – Black Rider

Marjorie Noël – Sur La Plage Abandonnée

Strictement Chanson Française

Il m’arrive aussi d’en écouter, pas forcément les chansons que l’on entend toujours…

Jean-Claude Annoux – Aux Jeunes Loups

Cora Vaucaire . La Complainte De La Butte

Colette Magny – Néant

Fréhel – Ohé Les Copains

Damia – La Mauvaise Prière

Séquence humour

Bourvil – Les Abeilles

Partis rejoindre les étoiles

Richard Davis (1930 – 2023)

Bassiste de jazz et sessionmen. Il apparaît dans de nombreuses formations. Il est aussi prisé par les artistes pop et il joue avec Van Morrison, Alvin Lee, Eric Clapton, entre autres.

Raunchy Rita, avec Elvin Jones, 1967

Beside You, avec Van Morrison, 1968