Pink Floyd – Relics

C’est un étrange album de Pink Floyd, en fait il ne s’agit pas tout à fait d’un album mais d’une compilation. Assez bizarrement ce fut pour les fans un objet de recherche constant. La raison en est très simple, mais n’est pas connue de tous ceux qui ne s’intéressèrent au groupe qu’à partir du début des années 70, quand il passèrent vraiment au top niveau du succès. Pour ceux qui connaissent les débuts, il se souviendront que le premier titre du groupe qui connut la notoriété fut « Arnold Lane » et juste après « See Emily Play », qui eut encore un peu plus un air de succès. Ces deux titres parurent en 45 tous simples dans leur pays d’origine. Ensuite le groupe se consacra aux albums, ignorant dans leur contenu les publications précédentes. Les débuts c’est aussi la période Syd Barrett, la seule, la vraie pour certains puristes. Le succès grandissant attira nombre de collectionneurs qui voulaient compléter la discographie avec le matériel du début et les singles C’est ainsi qu’en 1971, EMI décida d’offrir cette compilation aux fans, qui leur permit de compléter ce qui leur manquait, de manière plus approfondie et en stéréo, que ne le fit un premier « Best Of » en 1970 édité seulement en Europe, mais qui allait un peu dans le même sens. Musicalement ce n’est pas un album inintéressant, ils avaient quand même bien travaillé en dehors des titres mis en boîte pour les albums. On y retrouve des titres plaisants comme « Julia Dream » ou plus compliqués comme « Intersellar Overdrive », « Careful With That Axe Eugene », un inédit « Biding My Time ». Et surtout cela concerne plus directement la période Barrett. Pour apporter un peu plus de plaisir aux collectionneur, les pochettes eurent différents visages selon les pays d’édition. Une édition CD figure en trois dimensions avec la machine imaginée par Nick Mason pour l’édition originale.

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Pink Floyd – Bouton Rouge

Pink Floyd, un nom qui rappelle pas mal de choses à pas mal de monde. Bon, il y a les inconditionnels de l’époque Syd Barrett, j’en suis pour une grande partie. Vissé devant mon écran de télé un jour du début 68, je me rappelle d’avoir vu cela. Un de mes titres favoris toutes époques confondues, « Set The Control For The Heart Of The Sun », ah on savait planer en ces temps reculés! Planons encore et revoyons tout cela.