Lauren, une toile en nylon bien tissée

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Les poètes, mettent les grains de poussière en des écrins pour en faire des diamants. Beaudelaire, Verlaine, Rimbaud, peut-on imaginer ce qu’ils auraient écrit si d’aventure ils avaient rencontré une dame en bas nylon au tournant d’une rue. Même s’il m’arrive de boire de l’absinthe, je n’ai pas la verve de Verlaine. Même s’il m’arrive de regarder un feu follet, je n’ai pas le regard halluciné de Beaudelaire. De Rimbaud j’aime assez dormir dans son val d’alexandrins. Je ne sais pas s’il y une saison pour les poètes, j’aimerais le croire. Alors moi qui suis si peu poète, je devrais laisser ma plume à d’autres en cet automne où la nature s’apprête à battre le rappel qui annonce que le nylon est de retour?

Eh bien non, ma verve se mettra une fois de plus au service du nylon. Ce nylon que j’admire sur toutes les coutures de ses bas, ce nylon qui file doux sur la peau des dames et sous la peau de messieurs, une fois de plus j’aime à le mettre en mots.

Sur les  autoroutes de la Toile,cette ruche qui bourdonne de mille abeilles en quête de plaisir ou de connaissance, j’y ai croisé Lauren, une femme en quête de partage de ses passions. Son art est celui du charme qui tient à un fil de nylon. Ce charme pourrait paraître un atout suffisant pour titiller l’oeil du visiteur, mais dans son esprit cela ne l’est point. Elle adore tremper sa belle plume dans une encre légère et nous servir de doux babillages tout aussi charmants que ses jambes. Cela ne pouvait me laisser insensible, plutôt que de me contenter d’un simple lien tout aussi utile qu’anonyme, j’ai choisi d’aller à sa rencontre pour mêler ses mots avec les miens. Par ces mots, vous l’aurez compris, je vous encourage vivement à découvrir ce blog pas tout à fait comme les autres. Un femme cultivée en bas nylon, plaisir des dieux et des yeux…

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Une femme qui porte des bas, c’est tout un univers. Chacune à sa manière aborde le sujet et le met en scène. Je n’insisterai jamais assez, porter des bas contrairement au collant, ouvre une variété infinie de contrastes. Imaginez la nature, avec deux yeux, deux oreilles, un nez, une bouche, combien elle peut créer de visages différents. Lauren a accepté de répondre à ce petit questionnaire, avec une rapidité déconcertante, qui nous éclaire sur sa personnalité de femme adepte du bas. Je l’en remercie vivement.

Dans ses réponses, elle souligne quelques points auxquels je souscris pleinement. Je les ai commentés.

1) Dans quelle tranche d’âge vous situez-vous?

Oops, j’ai maintenant plus de 40 ans… malheureusement. Donc disons dans la tranche 35/45… 

2) Etes-vous mariée ou vivez-vous en couple?

Je suis mariée ! Et heureuse depuis de nombreuses années ;o)

3) Quel effet cela vous fait-il de répondre à un questionnaire axé uniquement sur le bas nylon?

Le bas nylon fait partie de mon quotidien, donc cela me semble plutôt naturel d’en parler.

4) Avez-vous commencé par porter des collants, pendant combien de temps?

 Non, j’ai plutôt commencé par les « dim-up », il y a plus d’une vingtaine d’années (décidément, vous avez décidé de ne pas me rajeunir ;o)

Commentaire: si cela peut vous consoler, je pense sincèrement que c’est dans votre tranche d’âge que les femmes portent les bas le plus divinement

5) Quand vous étiez adolescente quelqu’un de votre entourage portait-il des bas?

 Non, je n’en ai pas souvenir.

6) Si oui, comment considériez-vous les bas à ce moment-là?

— 

7) Quand vous avez porté des bas pour la première fois, quelqu’un vous a-t-il influencé?

 Influencée, je ne sais pas… mais disons que j’en ai porté par curiosité, et surtout, pour voir si ça allait plaire à mon chéri.

8) Qu’est-ce qui vous a décidé de franchir le pas?

Comme je te le disais, faire plaisir à mon chéri et le séduire ! 

9) Portez-vous exclusivement des bas maintenant?

 Je porte des bas nylon quotidiennement, presque exclusivement, mais il m’arrive de temps en temps de mettre une paire de dim-up ou un collant, selon les circonstances. Mais c’est bas nylon 90% du temps.

10) Si non, à quelle fréquence?

11) Considérez-vous que le bas a un fort potentiel érotique?

Oui, je pense ! Ca reste un essentiel de la féminité et de la séduction. 

12) Quel style bas affectionnez-vous le plus, genre, matière, teinte?

 Ma préférence va aux bas 100% nylon, dit RHT (reinforced heel & toe). C’est pour moi le classique incontournable. Pour les teintes, beige/chair pour la discrétion, gris ou noir.

13) Un genre que vous n’aimez pas éventuellement?

 Tout ce qui peut être vulgaire ou « cheap » !

14) Combien de paires en possédez-vous? Comment les achetez-vous?

 Je ne collectionne pas les paires. J’en ai bien sûr toujours un petit stock d’avance, mais comme j’en porte au quotidien, c’est pour moi plutôt un produit de consommation. Donc, j’en use, j’en file, j’en jette, j’en rachète. Je les achète en ligne principalement, en général en Angleterre.

15) Quand vous portez des bas, avec quel sous-vêtement les portez-vous le plus souvent?

 Ensemble 3 pièce avec porte-jarretelles 6 attaches ! De temps en temps, des guêpières (6 attaches obligatoires également).

16) Que possédez-vous comme pièces de lingerie en rapport avec le fait de porter des bas?

Comme je viens de le dire, pas mal de « vrais » porte-jarretelles 6 attaches, noirs, blancs, rouges, roses, de quoi assortir avec ensembles culotte/soutien-gorge. Et sinon, serre-tailles, guêpières, etc.

17) Considérez-vous le fait d’accorder votre lingerie en style et couleurs comme indispensable?

 Oui, indispensable pour moi ! Mais pas forcément l’ensemble coordonné (car on trouve très rarement des ensembles avec de vrais porte-jarretelles), mais au moins, le PJ de la même couleur et de la même matière que le reste.

18) Quatre ou six jarretelles ou plus?

 Six !!! Comme dit précédemment ;o)

19) A quelle fréquence faites-vous des achats lingerie?

Assez régulièrement, sans doute tous les mois au minimum.

20) Avez-vous des copines, des amies, qui sont égalent adeptes du bas?

 Des dim-ups, sans doute… mais des vrais bas, non, pas à ma connaissance. Ou alors des « amies » du web, bien sûr.

21) Que l’on devine que vous portiez des bas, bosses sur une jupe, lisière visible, cela vous gêne-t-il?

 J’aime rester discrète et n’en fait pas un signe ostentatoire… mais non, cela ne me gêne pas. Déjà, ça s’adresse plutôt aux connaisseurs qui sauront le remarquer.

Commentaire: à condition de rester dans les limites de la courtoisie, c’est un jeu plaisant avec une inconnue. Parfois il m’est arrivé d’attraper dans un regard le fait qu’elle savait que je savais

22) Parfois, selon les circonstances, vous êtes-vous amusée à faire savoir que vous portiez des bas?

 Oui, par jeu, cela m’est peut-être déjà arrivé ;o)

23) Hésiteriez-vous à réajuster une jarretelle devant une connaissance?

 Non, je ne le fais pas. Ce geste est réservé à mon jardin secret et aux lecteurs & lectrices de mon blog ;o) Et bien sûr, à mon mari !!! ;o)

24) Si un homme vous complimente parce que vous portez des bas, comment réagissez-vous?

 Je serais peut-être un petit peu gênée, mais pas plus que ça. Je prendrais le compliment comme il vient.

Commentaire: cela m’est admiré, il faut tout de suite faire passer le message que c’est un compliment teinté d’admiration. Balourds s’abstenir!

25) Avez-vous une anecdote à nous raconter d’une situation gênante en portant des bas?

 Je n’ai pas de souvenir particulier là-dessus. Comme je le disais, cela fait partie de mon quotidien, donc je m’en accommode et c’est rare que cela puisse être gênant, à partir du moment où je choisis les bon bas, des porte-jarretelles qui tiennent très bien, et la bonne longueur de jupes !

Commentaire. Lauren nous prouve que porter des bas n’est pas si compliqué que cela, contrairement à celles qui invoquent mille excuses pour ne pas le faire

26) Une situation marrante?

Marrante je ne sais pas, mais comme je suis dans le graphisme et mon mari dans la conception web, il m’est arrivé que des lecteurs assidus de notre blog nous contactent pour du travail parce qu’ils avaient eux-mêmes besoin d’un logo ou d’un site par exemple, et qu’ils aiment notre travail. Donc, c’est assez amusant de se retrouver en réunion professionnelle avec des clients, leurs collaborateurs, quand on pense qu’ils m’ont vue en porte-jarretelles et bas nylon sur mon blog ;o)
D’ailleurs, je porte bien sûr, dans ces cas-là, des bas nylon et des talons hauts pour aller en réunion, car hors de question que je brise le « mythe » et que je déçoive ;o)

27) Quel conseil donneriez-vous à une femme qui ne veut absolument pas porter de bas?

Aucun ! Je pense qu’il ne faut pas se forcer, c’est un choix par goût, cela doit être un plaisir. Et puis, si toutes les femmes portaient des bas nylon aujourd’hui, cela n’aurait plus le même intérêt je pense, on perdrait ce côté « culte ». Ce qui est rare est précieux ;o) 

Commentaire: entièrement d’accord avec le fait que si toutes portaient des bas cela n’aurait pas le même intérêt. Personnellement ma passion pour le bas s’est amplifié quand il a commencé à disparaître

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Poussez la porte

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Souvenirs de Charme

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J’aime beaucoup ouvrir mon blog aux souvenirs des autres. Pour autant qu’ils  les racontent, je les accueille avec autant de curiosité que de plaisir à les lire. Avouer qu’on aime le nylon et le témoigner est certainement la meilleure façon de convertir toutes celles qui peuvent douter de son effet magique sur la libido des hommes. Sans vouloir jouer les statisticiens, je constate que les témoignages émanent le plus souvent de personnes qui possèdent un certain niveau culturel. De là, à déduire que les admirateurs d’un certain charme se recrutent dans un milieu assez élevé est un pas que je ne franchirai pas. Par contre, ceux qui l’expriment de manière ouverte et élégante appartiennent plus probablement à cette catégorie. Cela n’a rien à voir avec le compte en banque, car on peut posséder une très grande culture et être clochard. J’en ai moi-même fait le constat. Tout ceci  m’arrange bien, car j’écarte tous les lourdauds qui peuvent assimiler bas nylon avec invitation au sexe de la part de celles qui en portent. Que l’on finisse dans la chambre à coucher d’une dame qui porte des bas est une éventualité qui peut se produire selon les circonstances. Mais que l’on imagine que ses bas servent de passe-partout pour y entrer, c’est certainement la plus grosse erreur que l’on puisse faire. Pour autant que l’on soit un peu psychologue, il y a d’autres signes qui sont annonciateurs de son désir de vous connaître un peu mieux. Eh oui, imaginez-vous que toutes les femmes qui portent une mini jupe sont prêtes à vous inviter chez elles? Bien sûr que non, alors je ne vois pas pourquoi il en serait autrement si elles porte des bas. L’une comme l’autre peuvent juste faire cela parce qu’elles aiment cela.

Il a choisi de paraître sous le pseudo de Charme et de nous raconter le début de ses aventures dans sa quête du nylon. Il le fait à sa manière avec ses mots, mais avec la sensibilité que son pseudo peut laisser supposer. Il a promis de revenir nous raconter la suite. En attendant, je lui donne la parole en le remerciant.

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Je viens de parcourir avec plaisir les différents témoignages des passionnés de tous sexes des bas nylons.

Je vais donc apporter ma pierre à l’édifice de la manière la plus courte possible car l’histoire est longue et elle continue.  

J’ai 52 ans et dès mon plus jeune âge j’ai été bercé, avec bienveillance, par une grand-mère couturière, sur les petits rien qui font que toutes les femmes sont belles à partir du moment où elles restent féminines. Tous les jeudis, j’étais mobilisé pour tenir la boite d’aiguilles ou la craie pour aider les petites mains de ma grand-mère pour rectifier ici une couture mal ajustée ou là, la longueur précise de la jupe droite.  J’ai tout connu des aléas de la mode des jupes au-dessus du genou ou en dessous du genou.  J’en ai vu défiler des dames de tous rangs, de toutes tailles et de toutes morphologies. Pour moi elles étaient toutes belles car ma grand-mère savait parfaitement accorder les formes et les teintes pour que tous les petits défauts soient gommés.  

C’était beau mais étant jeune je ne savais pas vraiment ce qui pouvait me passionner autant.  Souvent, j’ai entendu que je finirai avec un dé à coudre et que les tissus deviendraient mon quotidien.   Finalement,  j’ai préféré le métier des armes qui était nettement plus viril.   

Pendant longtemps les choses en sont restées là, jusqu’en 1982.  Cette année-là, j’ai rencontré une jeune femme de mon âge qui allait me faire découvrir ma passion enfouie.  

Nous avions décidé, avec un autre ami, d’aller passer la soirée au restaurant ensemble.  Nous étions passés la récupérer chez elle en début de soirée.   Elle s’était habillée d’une manière très élégante qui mettait sa silhouette en valeur.  Jolie brune aux cheveux courts et aux yeux sombres,  elle avait parfaitement accordé sa tenue avec sa beauté naturelle. Elle s’était présentée devant nous en imperméable beige noué à la taille par une ceinture.  Ce vêtement laissait paraitre de jolies jambes perchées sur des talons hauts.  Moi qui l’avait souvent vue en jeans, j’étais d’un coup fasciné par son charme qui m’avait si souvent échappé. 

Arrivés au restaurant, elle dégrafa son imperméable pour le disposer sur le dossier de sa chaise.  Je ne pouvais pas la quitter des yeux tellement je l’ai trouvée belle et je me dépêchais pour me retrouver à côté d’elle.   Dans l’ambiance détendue et souriante, je ne manquais pas de la féliciter sur sa tenue et de la complimenter sur son glamour.   Séduite par mes propos, elle se livra un peu et expliqua qu’elle adorait la touche hyper féminine allant jusqu’à mettre des sous-vêtements vintage, en commençant par les bas.  En 1982 quand on parlait de bas, ( il n’y avait pas de dim-up à l’époque )  on parlait vraiment  de séduction car ces ustensiles ne servaient plus que pour des jeux de séduction privés. J’étais sous le charme, et d’un seul coup, elle me ramenait 15 ans en arrière dans les salons d’essayage de ma grand-mère.  La conversation n’en resta pas là.  Me montrant très curieux, elle n’hésita pas une seconde à dévoiler, très discrètement,  le haut de ses cuisses pour nous faire découvrir la beauté des bas fixés à son porte-jarretelles.  J’étais comme un fou.  L’ami qui nous accompagnait n’en manquait pas une miette.  

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Sur le retour, dans la voiture,  elle nous livra encore la beauté de ses jambes en les glissant entre nos sièges.    A partir de cet instant,  l’idée des bas devint mon obsession, j’en étais convaincu.  

Ma fiancée de l’époque l’était un peu moins mais j’allais trouver les arguments pour la convertir.   Sans être accroc autant que je l’étais, elle fit quand même  des efforts, même si elle trouvait ça inconfortable.  Heureusement Dim passa par là quelques années plus tard, apportant un bas joli, facile à mettre et confortable.   Merci Dim…. 

De temps en temps Gerbe passait par là pour mon plus grand plaisir.   Mais dans ma conquête du Graal,  je me devais de convertir d’autres femmes.  Je commençai donc par quelques amies avec plus au moins de réussite. Puis arriva internet ce facilitateur de rencontres. Par ce biais, j’en ai fait de belles et c’est pour ça qu’aujourd’hui je suis là.

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Adèle et les bas nylons

J’ai rencontré Adèle en fidèle amatrice de bas. Quand je dis amatrice, le terme de professionnelle lui conviendrait mieux. En effet, ce n’est pas une convertie de fraîche date, elle n’a porté que cela tout au long de sa vie et ne s’en cache pas auprès de ceux qui la connaissent. Lors de notre rencontre avec elle et son mari, nous avons bien sûr discuté de cela en toute simplicité comme si nous avions parlé de n’importe quel autre sujet. Nous avons décidé d’un commun accord de donner une suite à cette rencontre sous la forme d’un questionnaire d’une trentaine de questions qui donne un éclairage sur sa personnalité. Pour moi, il est essentiel que ce genre de témoignage parvienne au plus grand nombre, pas tellement les messieurs, mais les dames qui hésitent à franchir ce pas qui mène vers la féminité dans ce qu’elle a de plus beau. Il est le milieu de la route entre celles qui à travers un blog nous charment de leurs photographies et celles qui refusent de rester totalement anonymes, au nom de la défense d’une véritable élégance. Ce n’est que comme cela que de nous ferons avancer cette cause, chère à moi et à tant d’autres. Mais nous ne serons jamais trop.

Je remercie Adèle du fond du coeur pour sa participation au questionnaire, sa gentillesse et son élégance lors de notre rencontre.

1.     Dans quelle tranche d’âge vous situez-vous?

–  56 ans.

2.     Êtes-vous mariée ou vivez-vous en couple?

– Mariée.

3.    Quel effet cela vous fait-il de répondre à un questionnaire axé uniquement sur le bas nylon?

– Si cela pouvait donner envie a des personnes de tout sexe d’en porter..

4.     Avez-vous commencé par porter des collants, pendant combien de temps?

– Pas beaucoup, sauf en laine sous une robe courte ou un short l’hiver.

5.     Quand vous étiez adolescente quelqu’un de votre entourage portait-il des bas?

– Oui ! C’était l’époque.

6.     Si oui, comment considériez-vous les bas à ce moment-là?

– Toujours de la même manière qu’aujourd’hui. Une sensation de douceur.

7.    Quand vous avez porté des bas pour la première fois, quelqu’un vous a-t-il influencé?

– Non je suis tombée en admiration devant des dessous .

8.       Qu’est-ce qui vous a décidé de franchir le pas?

 – La beauté de ces dessous

9.    Portez-vous exclusivement des bas maintenant?

– Oui même quelque fois sous des pantalons.

10.    Si non, à quelle fréquence?

       –
11.    Considérez-vous que le bas a un fort potentiel érotique?

– Bien sur! D’abord pour moi,  puis pour celui ou celle qui pourrait les apercevoir.

12.    Quel style bas affectionnez-vous le plus, genre, matière, teinte?

– Bas nylon 15 deniers avec ou sans couture, teinte selon mes couleurs de vêtements.

13.    Un genre que vous n’aimez pas éventuellement?

– La soie épaisse.

14.    Combien de paires en possédez-vous ?

– Plus de 400 paires.

15.    Quand vous portez des bas, avec quel sous-vêtement les portez-vous le plus souvent?

– Avec un porte-jarretelles.

16.    Que possédez-vous comme pièces de lingerie en rapport avec le fait de porter des bas?

– Guêpière, porte jarretelles et aussi serre-taille.

17.    Considérez-vous le fait d’accorder votre lingerie en style et couleurs comme indispensable?

– Bien sûr! Cela va de la beauté.

18.    Quatre ou six jarretelles ou plus?

– 4 jarretelles.

19.    A quelle fréquence faites-vous des achats lingerie?

– Trois fois par an et c’est mon mari qui fait souvent l’achat et j’en suis ravie.

20.    Avez-vous des copines, des amies, qui sont égalent adeptes du bas?

– Je ne sais pas, mais j’ai mon mari.

21.    Que l’on devine que vous portiez des bas, bosses sur une jupe, lisière visible, cela vous gêne-t-il?

 – Non pas du tout, bien au contraire.

22.    Parfois, selon les circonstances, vous êtes-vous amusée à faire savoir que vous portiez des bas?

 – Oui par un croisement de jambe, un escalier, un sol ,en voiture en relevant la jupe.

 23.    Hésiteriez-vous à réajuster une jarretelle devant une connaissance?

– Non pas du tout! C’est plus érotique qu’un homme qui se réajuste.

24.    Si un homme vous complimente parce que vous portez des bas, comment réagissez-vous?

– Je lui dirai merci du compliment et pourquoi pas engager une conversation sur le sujet…

25.    Avez-vous une anecdote à nous raconter d’une situation gênante en portant des bas?

– Un soir mon mari et moi étions dans un sex shop à Paris je regardais une vitrine avec des godes, et avant  la fin de la  vitrine, il y avait un escalier. Omnibulée par la vitrine, je n’ai pas vu l’escalier et j’ai chuté jusqu’en bas. En remontant, mes bas étaient déchirés et il fallait sortir du magasin. J’étais gênée.

26.    Une situation marrante?

– La même que dessus. Maintenant, j’en rigole.

27.    Quel conseil donneriez-vous à une femme qui ne veut absolument pas porter de bas?

– Je lui dirais d’essayer pour qu’elle ou il éprouve cette sensation de douceur, de caresses, de  sensualité, d,érotisme, de féminité. En fait, un énorme plaisir.

28.    Y a-t-il une question, des questions, que vous auriez aimé que l’on vous pose et que ne l’ont pas été ?

– Enormément ! Quel plaisir de se laisser déshabiller, qu’on vous regarde, qu’on vous touche, que l’on vous sente de la  tête au pied, puis caresser le corps de l’autre avec des jambes galbées de nylon .

29.    (Facultatif)   Les bas et la sexualité. Pensez-vous que le bas joue un rôle dans le rapport sexuel.

-Ouïe, la vue, l’odorat, le toucher, autre…    Vous pouvez argumenter.

N’hésitez pas à remercier Adèle pour nous avoir fait part de ses réponses. Et si vous mesdames, vous désirez aussi défendre la cause du bas nylon en répondant à ce questionnaire, c’est l’occasion d’apporter votre témoignage en toute discrétion. Porter des bas dans son petit univers, c’est bien, mais le prouver aux autres, c’est encore mieux. Pour cela, point n’est besoin de grandes rencontres et de grands discours, le virtuel nous offre ses possibilités infinies. Et il ne s’use même pas si l’on s’en sert! Le mail de contact vous attend, moi aussi!