
Deux musiques pour commencer fifties
The Penguins – Earth Angel
The Checkers – The White Cliffs Of Dover

CHANSONS
MONUMENTS
Chansons qui ont un brin d’éternité
Wooly Bully
Une des chansons les plus emblématiques de 1965. Toute personne douée d’intelligence et qui vivait en 1965 doit l’avoir dans un coin de sa mémoire si elle vit encore. Elle suscita au moins 200 reprises et cela pourrait bien continuer.
Version originale Sam The Sham & The Pharaohs, 1964
La version parodique du Bonheur Des Dames, 1988
Dans le fatras de la production phonographique, il y a des millions de chansons dont seule une petite partie émerge des profondeurs. C’est un peu la même chose que l’iceberg dont vous voyez le sommet hors de l’eau. Même chez les artistes très connus, il y a les succès et la part qui reste plus ou moins dans l’ombre. D’autres artistes n’ont jamais accédé à la notoriété, mais parfois on trouve dans leur démarche, de très intéressantes petites pépites. Ils se peut aussi qu’elles furent des succès dans une autre partie du monde, mais restent plutôt inconnues chez nous. Elles ne demandent qu’à briller de tous leurs feux. C’est un peu le principe de cette rubrique, exhumer ces chansons qui méritent une peu plus que de rester au fond de la cave. Sans distinction de style, artistes connus ou inconnus, ils n’ont pas échappé, un jour ou l’autre, à ma curiosité. Assez pour que je m’en rappelle encore aujourd’hui.
The Emperor’s – I Want My Woman (USA 1965)
Annie Philippe – C’est La Mode (France 1966)
Bernard Laféraud – Une Fois Au Moins (France 1965)
The Tages – I Should Be Glad (Sweden 1965)
The 9Th Street Market – I’m A Baby (USA 1966)
Chat veut chat veut pas

Partis rejoindre les étoiles

Quincy Jones (1933 – 2024)
Il est né 20 ans pile avant votre serviteur. A part cela il fut un des grands producteurs, compositeurs, chef d’orchestre de la musique tout en jouant de la trompette. Les actualités en ont amplement parlé, alors inutile d’en ajouter…
Des tubes
Peggy Lee – Yeah! Yeah! Yeah! (1951), chef d’orchestre a 18 ans…

