Disques sous la loupe
Des curiosités musicales diverses, des ambiances particulières, une démarche artistique originale. Des disques qui sont des collectors de plus ou moins grande valeur, mais qui en ont une artistiquement parlant. Les découvrir c’est partir à l’aventure.
The Doors LP USA
Avant dernier album studio des Doors avec Jim Morrison. Pour ceux, qui comme moi, ont vécu en direct la carrière des Doors, force est de constater qu’il n’y a rien à jeter dans la discographie, tous les albums ont leur charme. On peut les résumer ainsi, des musiciens de premier plan et certainement un chanteur parmi les plus charismatiques de la pop. Cet album est en quelque sorte divisé en deux chapitres, « Hard Rock Cafe » et « Morrison Hotel », occupant chacun une face du disque. Le titre « Waiting For The Sun » est une sorte d’anachronisme, car c’est celui d’un album précédent sorti deux ans avant. La chanson d’ouverture « Roadhouse Blues » est sans doute celle qui a le plus passé à la postérité, il en existe des dizaines de reprises. Tout le matériel est original, les Doors étaient d’ailleurs peu friands de reprises, même s’il est existe quelques unes. C’est aussi un groupe qui a assez bien passé les générations, ce n’est pas forcément que les vieux schnocks qui l’écoutent avec certains délices, celui-ci comme les autres.
Artiste : The Doors
Titre : Morrison Hotel
Genre : pop
Label : Elektra
No Catalogue : EKS-75007
Pays : USA 1970
Meilleure enchère sur Ebay 746 euros, copie promo scellée.
Note : publié dans de multiples pays, facile d’en trouver une copie surtout parmi les multiples rééditions.
Une perle de l’album
Roadhouse Blues
Un route à écouter

Waiting For The Sun

You Make Me Real

Peace Frog

Blue Sunday

Ship Of Fools

Land Ho!

The Spy

Queen Of The Highway

Indian Summer

Maggie M’Gill
Hors album

Roadhouse Blues, live à l’ile de Wight 1970

Back Door Man, live, lieu et date non mentionnés

The Crystal Ship, clip 1967
The Fly-Bi-Nites, USA 45 tours
The Swinging Blue Jeans – His Master’s Voice – POP 1596, Hollande, publié en 1967, meilleure enchère sur Ebay 432 euros.
Les Jeans dans la période Terry Sylvester à la guitare solo qui remplace Ralph Ellis. On ne peut pas dire que sa venue sera un période faste pour le groupe qui aligne bide sur bide. Il aura beaucoup plus de chance en remplaçant Graham Nash au sein des Hollies. Malgré tout ,His Master’s Voice semble toujours y croire avec des singles diffusée dans de nombreux pays, celui-ci dans huit pays différents. Pour les fans de la collectionnite, c’est autant de pièces plutôt difficiles à dénicher, les ventes ayant été modestes. Même si le groupe ne connaîtra plus jamais de vrais succès phonographiques, il reste néanmoins une attraction dans les circuits nostalgiques depuis plus de 50 ans. Il existe encore aujourd’hui, bien qu’aucun membre original en fasse partie.

Tremblin’

Something’s Coming Along

Qu’une chanson devienne un succès ou pas reste un mystère. Des tas de facteurs s’affrontent, la production, la promotion, la diffusion, l’air du temps, les goûts du public au moment de l’écoute, et même leur non publication en temps voulu. Autant de mystères insondables. En voici deux qui avaient un potentiel certain, mais qui devinrent ce que les spécialistes appellent des flops. Et pourtant, en les écoutant on se dit que c’est bien dommage.
Gus & George – Always With You (1967)
Duncan Browne – Streets Of Fire (1979)
Visites au musée du Boss
Au cours de ma vie je ne sais pas combien j’ai écouté de disques, probablement des millions. Dans ce kaléidoscope, certains ne firent que passer, d’autres se manifestèrent de manière plus accrocheuse. Et puis il y a ceux que je peux mettre dans mon musée. En voici des exemples, et comme en musique je n’ai jamais été sectaire, on peut y trouver des trucs qui peuvent sembler bizarres. Mais voilà, je les ai tous adorés et même les adore encore…
Deux qui figurent sans aucun doute parmi mes records d’écoute…
The Small Faces – Tin Soldier
The Rolling Stones – Congratulations
Ces disques ne font pas partie de ceux que j’ai le plus écoutés. Néanmoins ils ont à un moment ou à un autre tournés sur la platine, et ceci plus d’une fois. Ils sont d’agréables souvenirs qui peuvent de temps en temps remonter à la surface.
Jezebel Rock – Last Riders
The Mamas & The Papas – Trip, Stumble & Fall
Deux qui font partie de mes records d’écoute, mais qui sont d’une découverte plus tardive, bien qu’ils soient anciens. Il y a une bonne raison à cela, ils étaient le plus souvent inatteignables pour moi lors de leur publication, publiés sur d’obscurs labels, dans des pays géographiquement lointains de chez moi. La découverte viendra plus tard à travers les nombreuses compilations qui fleurirent au cours des années 80-90, au hasard d’un voyage ou d’une foire aux disques, sur les conseils d’un autre collectionneur. Quoiqu’il en soit, ils sont devenus des chansons phares pour moi, même si au compteur ils viennent ensuite.
The Calico Wall – I’m A Living Sickness
The Lea Riders Group – Dom Kallar Oss Mods
Dans une future pièce du musée encore en construction, ces chansons y figureront probablement. Je ne les ai pas encore suffisamment écoutées, elles sont de découverte plus ou moins récente et ne font pas partie de mes 20 premières années d’écoutes, mais je suis sûr que je les écouterai encore dans dix ans.
Le Poème Harmonique – Qui Vou Audir Cancon




