En passant

Inventaire musical à la Prévert (261)

Disques sous la loupe

Ce que je peux penser d’un disque ou d’un autre est personnel. J’ai pensé qu’il serait intéressant d’aller fouiller dans les archives des journaux musicaux pour voir ce que eux en disaient.

C’est le second album des mythiques Yardbirds publié en France. Cet album est l’équivalent pour la France du « Roger The Engineer anglais de 1966. Il est publié ici un peu plus tard en faisant abstraction de la pochette anglaise, mais le contenu est identique. Tous les titres sont des originaux. La chronique parue dans Rock&folk en décembre 1966 parle d’elle même, rien à décrier. La photo en tête de l’article est inexacte, elle montre Jimm Page à la basse, alors que dans l’album c’est Paul Samwell-Smith qui officie.
Mais peut-être le prolongement le plus inattendu de cet album se produisit une bonne quarantaine d’années plus tard. En 2007, les Pussycat Dolls reprennent un titre de l’album « He’s Always There » qui samplé devient avec des nouvelle paroles « When I Grow Up », titre qui cartonna dans le monde entier. Le titre original fut écrit par Jim McCarty le batteur et Paul Samwell-Smith le bassiste. Comme la reprise fut élue Best Dance Video aux MTV Video Music Award en 2008, ils furent honorés pour leur participation à la composition. Je me souviens dans le backstage d’un concert, à l’époque où le titre commençait à marcher, d’avoir bu un verre avec McCarty pour fêter cela. Il était partagé entre la fierté et l’incrédulité. Voir le clip des Dolls plus bas.

Over, Under, Sideways, Down

Visites au musée du Boss

Au cours de ma vie je ne sais pas combien j’ai écouté de disques, probablement des millions. Dans ce musée il y a certains disques qui reviennent régulièrement, pas seulement pour un titre mais plusieurs. C’est assurément le cas pour les albums, mais aussi un autre support, le fameux EP qui présentait le plus souvent quatre titres. En France jusqu’en 1967-68, c’était le format le plus courant, d’autres pays dans une moindre mesure les publiaient aussi, mais le single deux titres était la référence. Ces fameuses publications françaises sont très demandées par les collectionneurs étrangers, car elles avaient l’avantage d’être présentées dans une pochette en carton avec fréquemment une photo de l’artiste. En revisitant ma collection, voici quelques unes de ces pépites qui m’enchantèrent pour deux, trois, quatre titres.

I Must Be Doing Something Right

The Soup Greens – Like a Rolling Stone

Dans une future pièce du musée encore en construction, ces chansons y figureront probablement. Je ne les ai pas encore suffisamment écoutées, elles sont de découverte plus ou moins récente et ne font pas partie de mes 20 premières années d’écoutes, mais je suis sûr que je les écouterai encore dans dix ans.

Emelyne – L’automne

En passant

Inventaire musical à la Prévert (260)

Disques sous la loupe

Ce que je peux penser d’un disque ou d’un autre est personnel. J’ai pensé qu’il serait intéressant d’aller fouiller dans les archives des journaux musicaux pour voir ce que eux en disaient.

Cette critique est parue de le numéro 1 de Rock & Folk de novembre 1966 signée par J. B. qui est probablement Jacques Barsamian. Cette publication française, là je parle du disque, est propre à la France, la photo de la pochette n’a pas vraiment d’équivalent ailleurs. Il ne contient pas vraiment de grands succès. Perso, j’ai toujours été fan de ce groupe tant pour les arrangements musicaux parfois très « spectoriens », que pour la très belle voix de Scott Walker.

In My Room

Visites au musée du Boss

Au cours de ma vie je ne sais pas combien j’ai écouté de disques, probablement des millions. Dans ce musée il y a certains disques qui reviennent régulièrement, pas seulement pour un titre mais plusieurs. C’est assurément le cas pour les albums, mais aussi un autre support, le fameux EP qui présentait le plus souvent quatre titres. En France jusqu’en 1967-68, c’était le format le plus courant, d’autres pays dans une moindre mesure les publiaient aussi, mais le single deux titres était la référence. Ces fameuses publications françaises sont très demandées par les collectionneurs étrangers, car elles avaient l’avantage d’être présentées dans une pochette en carton avec fréquemment une photo de l’artiste. En revisitant ma collection, voici quelques unes de ces pépites qui m’enchantèrent pour deux, trois, quatre titres.

Tu L’as Voulue

Deep Six – What Would You Wish From The Golden Fish

Dans une future pièce du musée encore en construction, ces chansons y figureront probablement. Je ne les ai pas encore suffisamment écoutées, elles sont de découverte plus ou moins récente et ne font pas partie de mes 20 premières années d’écoutes, mais je suis sûr que je les écouterai encore dans dix ans.

Michael Schulte – Afterlife