Les chansons parlant de drogue, dures ou douces, ont toujours existé, les plus courantes sont probablement celles qui parlent d’alcool. Dans de vielles chansons années 30 ou 40, on trouve parfois des allusions à l’opium par exemple. A partir des sixties, les chansons qui cachent dans les titres, les paroles, la consommation de drogues, sont de plus en plus nombreuses, cela devient carrément une mode. Parfois c’est très évident, parfois c’est un peu plus subtil, il faut deviner. Il arrive que certaines chansons sont interdites de diffusion à la radio ou à la télévision, on interdit la diffusion mais pas la vente, c’est le cas en Angleterre. Dans les pays francophones, les chansons anglophones concernées passent plutôt bien, on n’y voit que dalle dans les allusions qui peuvent se cacher dans les textes. Parmi les chansons francophones, on ne s’arrêta pas trop sur les détails, même si le titre est parlant. La plupart d’entre elles ont d’ailleurs des textes qui font penser que l’expérience est négative, il n’y a pas vraiment de chansons qui prônent la consommation ouvertement, ou cela est caché sous des apparences anodines, voir comiques.
Voici 20 chansons qui d’une manière ou d’une autre ont des allusions aux drogues, même que certaines sont très connues. Peut-être que vous les avez écoutées sans penser un instant ce qui pouvait se cacher derrière. Bonne écoute et bon dimanche.
Bonjour M. Boss,
Belle rétrospective mais je pense qu’il doit y en avoir pas mal d’autres notamment
anglophone …vous avez sûrement omis la plus connue des Beatles » Lucy in the sky with diamonds » même si ils s’en sont toujours défendu, prônant un dessin de Julian Lennon !
On pourrait presque se faire des compils entières de ces titres évocateurs , déjà vos 20 titres ferait un CD
Bon dimanche
cooldan
Hello Cooldan,
En effet j’avais pensé à « Lucy In The Sky », mais comme vous dites ils ne l’ont jamais vraiment admis, mais c’est gros comme une maison. Tandis que pour « Day Tripper » cela semble être le cas.
J’ai fait cette liste pratiquement de tête, le premiers qui me sont venus à l’esprit. Mais il est vrai que à partir de 66-67, les allusions étaient nombreuses. Quoiqu’on en dise, cela ne m’a jamais incité à consommer de la drogue, même si je dois admettre que cela a créé de belles choses au niveau musical.
Bonne semaine