Disques sous la loupe
Des curiosités musicales diverses, des ambiances particulières, une démarche artistique originale. Des disques qui sont des collectors de plus ou moins grande valeur, mais qui en ont une artistiquement parlant. Les découvrir c’est partir à l’aventure.
Easy Rider
Un des films mythiques de la fin des sixties qui glorifie la moto, les grands espaces, la notion de liberté et celle de contre-culture. Les rôles principaux sont tenus par Peter Fonda, fils de Henry, Dennis Hooper, Jack Nicholson. Le film remporta de nombreux oscars. Il est aussi connu pour sa bande sonore, elle finit d’immortaliser définitivement « Born To Be Wild* de Steppenwolf. Les autres interprètes sont les Byrds, Roger McGuinn sans les Byrds, The Band, les Electric Prunes, Jimi Hendrix, Electric Flag. Certains titres que l’on entend dans le film ne figurent pas sur le disque édité à sa sortie. Un partie seulement de la musique a été composée spécialement pour le film, le reste n’étant que des emprunts figurant déjà dans la discographie des artistes. Mais pour une part, elle leur donna un nouveau coup de pouce.
Artiste : Easy Rider
Titre : B.O.F.
Genre : Pop
Label : ABC/Dunhill Records
No Catalogue : DSX 50063
Année : 1969
Pays : USA
Meilleure enchère sur Ebay : 118 euros. exemplaire original scellé, des exemplaires signés par les acteurs peuvent se vendre plus de 500 euros, ici il s’agit d’un premier pressage standard.
Note : Edité dans de nombreux pays
Steppenwolf – The Pusher
Steppenwolf – Born To Be Wild
The Band – The Weight
The Byrds – Wasn’t Born To Follow
The Holy Modal Rounders – If You Want To Be A Bird
The Fraternity Of Man – Don’t Bogart That Joint –
The Jimi Hendrix Experience – If Six Was Nine
The Elertric Prunes – Kyrie Eleison
Roger McGuinn – It’s Alright Ma
Roger McGuinn – Ballad Of Easy Rider
Chansons que l’on peut entendre dans le film, mais qui ne figurent pas sur la bande originale éditée en en disque.
Little Eva – Let’s Turkey Trot
The Electric Flag – Flash’ Bam’ Pow’
Interlude Easy Rider
Easy Rider
Séquence du film
La fameux Phil Spector en dealer
Scènes du film sur la musique des Byrds
Collectors Made In France
Johnny Burnette
La France a eu un peu de mal à se mettre au rock and roll. Il a fallu le début du yéyé pour que lôn prenne vraiment conscience qu’il existait. A part Elvis Presley et Bill Haley, les publications sont assez peu nombreuses, et surtout n’intéressent que les plus curieux, ce qui fait que ces publications sont plutôt rares sur le marché des collectors. Après une première publication Vogue en 1957 concernant Johnny Burnette, Vogue récidiva dans une série de EP’s intitulée « Dansons gaiement » et publia ce second disque français de Johnny Burnette. Avant de devenir une star au tournant des sixties, il enregistra l’un des plus grands albums de rock and roll, un disque vénéré par les puristes. Le succès assez modéré qu’il eut dans ce style, rend ces publications assez rares. Son album original US peut se négocier à plus de 3000 euros. Concernant les 45 EP’s, pour une fois ce ne sont pas les publications françaises concernant Burnette qui tiennent le haut du pavé, mais les éditions allemandes qui peuvent atteindre les 2000 euros. Mais les éditions françaises font quand même assez bonne figure. Quoi qu’il en soit, si on a un peu oublié le Johnny Burnette chanteur de ballades, son rock and roll reste toujours renommé.
Johnny Burnette – Coral ECV 18078, publié en 1958, meilleure enchère sur Ebay 552 euros
Lonesome Train
Rock A Billy Boogie
The Train Kept A Rollin’
Drinking Wine Spo Dee O Dee
Documents Johnny Burnette
Tear It Up
All By Myself
Show où il interprète « Hound Dog »
Visites au musée du Boss
Au cours de mes longues pérégrinations musicales, mon attention a été attirée par des milliers d’artistes. Certains m’ont laissé quelques souvenirs, d’autres pas. Pour les premiers, cela ne se limitait pas à une seule chanson, quelques unes pour les uns à des dizaines pour les autres. En me limitant à quatre chansons, en général mes préférées, je vais vous présenter ce qui pourrait constituer mon musée musical. Je donne la préférence à des artistes qui ne sont pas forcément très connus par les foules. Mon blog se veut aussi didacticiel et essaye de vous faire découvrir les immenses richesses de la musique.
John Leyton, un peu oublié, mais toujours plaisant. Et aussi en toile de fond une fameux producteur, Joe Meek.
Johnny Remember Me
Oh Lover
Wild Wind
Son This Is She
Ils existent aussi…
Des artistes et des titres qui n’ont jamais figuré à la une des médias d’un temps ou d’un autre. Et pourtant ils peuvent être intéressants, certains le pensent et j’en fait peut-être partie.
Ian & The Zodiacs – This Won’t Happen To Me
I Kings – Ma Non E Giusto
The Continentals – Cathouse Blues
Hello M. Le Boss,
Tous les amateurs de motos et de grands espaces parleront de ce film qui reste une référence en la matière !
Johnny Burnette à interprété un autre titre You’re Sixteen écrit par Richard et Robert Sherman qui apparaît dans le top 10 américain. Ce morceau sera repris en 1974 par Ringo Starr qui sera classé n° 1 aux États-Unis pendant une semaine.
John Leyton, je l’avais aussi un peu oublié !
Bonne semaine
cooldan
Hello Cooldan,
Easy Rider, c’est encore et toujours un film culte, j’ai fait de la moto, mais sans croire que je tournais dans le film !
L’album de Ringo Starr, j’avais bien aimé l’album où le titre figure, c’était presque une réunion des Beatles.
John Leyton, si jamais vous revoyez le film « La Grande évasion », il joue dedans mais ne chante pas.
Bonne fin de semaine