Je me suis laissé dire de source bien informée que Miss Eva boudait, mais pas n’importe comment, dans son boudoir du côté de…
Elle présentera dans chaque numéro une rubrique nommée « Frou Frou » en vous dévoilant en exclusivité quelques pièces de sa collection. Cela commence tout de suite et maintenant dans le numéro 7. Oui je sais, c’est une revue payante, mais que voulez-vous on peut pas tout avoir à l’oeil, mais au moins ici vous pourrez vous le rincer…
Je ne résiste pas au plaisir de vous présenter une de ces vieilles chansons qui faisait baver nos ancêtres et qui avait le même nom que la rubrique. Une ode à la lingerie des années 1930 assez prémonitoire, par contre ça c’est gratuit!
Comment oublier complètement cela ? Sans doute parce que c’est inoubliable !
En remontant aux sources de quelques titres qui sont bien plus connus par les autres que par le créateur, on peut parfois se dire que l’orignal n’est pas si mal et même très bien. Celui-ci est merveilleux!
Il m’arrive de ressortir ma collection de Cream et de me réchauffer quelques titres. Il y en a plusieurs, mais j’aime bien celui-là.
Il faut parfois revisiter les classiques, Ted Nudgent le faisait très bien en 1966 déjà…
Un album de blues un peu oublié et combien superbe a été enregistré en 1962 aux Trois Mailletz à Paris. Il y a Memphis Slim au piano, Willie Dixon à la contrebasse, Philippe Combelle à la batterie. Ca boogie woogie à tout va. Superbe !
Les chansons gentilles que j’ai adorées jadis et dont j’ai une certaine peine à me passer…
Une de ces chansons qui échappent passablement à ce que j’écoute habituellement. J’aime sans trop savoir pourquoi, sans doute les vocaux de Paul Jones, mais au fil des ans je remarque que je l’ai pas mal écoutée.
Je pourrais dire la même chose de cette chanson de Tom Jones, par ailleurs un chanteur très respectable au niveau de sa voix, j’aime bien cette histoire d’amour véritable surtout par l’ambiance. Par contre j’aime moins la version d’Eric Burdon et les Animals.
Il y a quelques chansons, et je ne suis pas le seul, qui rappellent une fille que l’on a bien aimée. C’est le cas de cette version de « Angelica » par les Sandpipers qui me ramènent à Palavas-les-Flots en été 1967, elle s’appelait France.
Il n’y a pas tellement de chansons qui sont capables de faire passer les grandes émotions, celle-ci en est une et cela vaut bien une écoute de temps en temps.
Les Mamas and Papas sont connus pour quelques hits incontournables. Mais il y a des chansons qui se cachent dans le discographie qui valent aussi leur pesant d’or. Celle-ci par exemple… c’est parfait !
Dans les années 50 à la maison on n’avait que la radio, mais elle marchait pratiquement à longueur de journée. Il était difficile d’échapper aux chansons de Dalida. Je n’ai jamais vraiment réussi, pour autant que j’en ai eu envie, à me passer d’elle. Alors de temps en temps, je ressors une de ses galettes pour l’écouter, un peu comme un bon bourgeois irait se dévergonder dans un bal populaire. Il y en a au moins une vingtaine que j’aime bien. J’ai choisi un clip où elle est non seulement chanteuse, mais très bonne actrice en enjôleuse.
Cela peut vous étonner mais j’ai une intégrale d’Edith Piaf dans laquelle on trouvait un enregistrement « sauvé » d’une chanson qui n’existait qu’en maquette. Je dois avouer que j’ai un faible pour cette mélodie de la grande chanteuse qui restera irremplaçable.